Depuis 1989, année de l'arrivée de la gauche aux affaires communales, je me suis toujours positionné comme un irréductible opposant.
Notre groupe représenté au conseil municipal a toujours fait des propositions qui ont eu la constance d'être toujours refusées.
C'est un fait.
Nous avons également dénoncé les méthodes autocratiques du maire ainsi que son outrance verbale à notre égard dans sa pratique, et avons en leur temps donné les exemples de ses déviances contraires aux usages démocratiques.
Nous vous demandons pour en prendre connaissance, si ce n'est déjà fait, de vous reporter à nos précédentes publications.
Aujourd'hui, un exemple est donné par la publication de la presse locale.
Depuis des années j'interviens au conseil municipal pour demander la restauration de l'orgue de l'église Saint-Martin.
Enfin, le maire a accédé à mes demandes réitérées et la restauration de l'orgue a pu avoir lieu.
Au moment de réceptionner le travail du facteur d'orgue, le maire a eu ce commentaire: "ça me fait plaisir car j'ai toujours dit que c'est cette église que je préfère" (Journal de l'Orne du 20 décembre 2012)
L'autocrate s'est donc exprimé et a reconnu qu'il avait décidé une dépense de 43 000 € uniquement pour se faire plaisir, alors que sa fonction lui fait obligation d'agir dans le sens de l'intérêt général et non de ses intérêts particuliers.
C'est à ce genre de détail que l'on mesure une politique qui depuis 23 ans a produit ses effets néfastes, sur les plans économique, démographique et en terme d'image.