Aujourd'hui se commémore la libération du camp d'Auschwitz en Pologne, qui fut le théâtre de l'extermination de milliers de juifs pendant la seconde guerre mondiale, dans le cadre de l'opération dite "solution finale" voulue par les nazis.
La Shoah qui concerne cette extermination partielle des juifs est enseignée obligatoirement par l'éducation nationale.
En France, la loi interdit de remettre en question l'existence des chambres à gaz.
D'aucuns ont remis en cause l'existence de ces chambres à gaz et ont été condamnés.
Celui qui a initié cette loi répressive est un ministre communiste du nom de GAYSSOT!
Ceci explique t-il cela?
La question est en effet posée, car il est avéré que l'éducation nationale passe sous silence l'équivalent des camps de concentration nazis du côté communiste chez les soviétiques, à savoir les goulags!
Curieux en effet!
Rappelons l'histoire des faits tout simplement.
Les soviétiques communistes ont malmené les juifs (demandez aux polonais ce qu'ils en pensent!)
Les soviétiques communistes ont installé des milliers de goulags de 1930 à 1991, alors qu'après 1945 il n'y avait plus de camps de concentration nazis!
Est également passé sous silence, le copinage entre nazis et communistes pendant la durée du pacte germano-soviétique de 1939 à 1941!
Curieux en effet d'avoir un enseignement sélectif, afin de servir une idéologie de la pensée unique.
Comment dans ces conditions former des citoyens ouverts, informés et aptes à l'esprit critique?
Le livre noir du communisme a en 1997 rappelé que le communisme a tué cinq fois plus d'hommes et de femmes que le nazisme!!!
Le nazisme a étendu ses tentacules meurtriers sur le continent européen, alors que le communisme a eu la planète comme "terrain de jeu" avec son chef d'orchestre qui a donné le "la", à savoir Joseph STALINE, dit aussi "le petit père du peuple", comme c'est mignon!
STALINE a eu par la suite de nombreux adeptes, au nom de la lutte des classes et de la révolution du prolétariat!
Ne nous laissons donc pas abuser par le compassionnel et l'émotionnel, au dépens de la raison.
Oui aux commémorations des crimes contre l'humanité.
Non à une commémoration sélective!