PAVIS a déjà connu cette émotion particulière et désagréable pour un élu PS, de se voir désavouer dans sa ville par un parti politique qu'il diabolise bêtement comme tous ses camarades bornés et sectaires de la gauche.
La première fois c'était en 2002, à l'occasion du premier tour de l'élection présidentielle au cours de laquelle Jean-Marie LE PEN était arrivé en tête à Argentan devant le camarade JOSPIN, éliminé en qualifications!
La seconde fois c'était dimanche dernier!
PAVIS se dit "républicain" sans trop savoir ce que cela signifie, car le mot "république" figure dans toutes les bonnes recettes politiciennes, y compris dans les théories et discours des régimes totalitaires!
Si PAVIS est réellement un démocrate, il doit accepter le verdict des urnes tout simplement.
J'ai pu en treize années de présence au conseil municipal vérifier, que PAVIS n'était ni un républicain ni un démocrate au sens où ces termes sont admis, c'est à dire dans la tolérance et le respect des procédures.