Depuis 2001, nous refusons de voter au conseil municipal le contrat de ville devenu contrat urbain de cohésion sociale, au motif que c'est un fourre-tout composé d'actions gadgets générant des gaspillages de l'argent public, destinées surtout à éteindre le feu social sans apporter de véritables solutions aux problèmes de nos concitoyens.
Les exemples sont multiples, mais nous retiendrons l'opération recyclo en 2006 qui a consisté à gaspiller 148 000 € pour réparer 18 vélos en un an!
Cette année ce sont 10 000 € qui ont été votés pour une maquette du quartier Saint-Michel composée de produits comestibles!
En dénonçant l'inefficacité de la politique de la ville depuis 10 ans, la cour des comptes ne dit pas autre chose.