En censurant notre tribune de juillet 2011, l'adjointe PIERRE-BEYLOT confirme les déviances totalitaires de la majorité municipale.
En entravant notre liberté d'expression la majorité municipale n'a rien à envier aux partis totalitaires dont elle dénonce pourtant les méthodes.
Que relatait notre tribune de juillet 2011?
La vérité à Argentan et rien d'autre.
La municipalité prend toutes les précautions, puisqu'elle indique décliner toute responsabilité des écrits des tribunes rédigées par l'opposition.
Alors pourquoi censurer?
Si comme elle l'affirme sans rien prouver, la tribune comportait des "erreurs flagrantes", pourquoi ne pas laisser le lecteur se faire lui-même son opinion?
Si comme elle l'affirme sans rien prouver, la tribune était "injurieuse", pourquoi ne pas m'assigner en justice pour diffamation?
Les idéologues de la politique n'apprécient jamais que l'on puisse révéler leur réalité.
La censure est le signe extérieur de l'intolérance des élus pris en flagrant délit d'incompétence, ou de dérapage incontrôlé.
Cette censure s'ajoute aux méthodes anti-démocratiques constatées à notre préjudice, puisque le maire a refusé de reconnaître l'existence de notre groupe au conseil communautaire, et ainsi de nier le verdict des urnes, tout en se disant adepte de la démocratie participative chère à Ségolène ROYAL!