Le maire, totalement incompétent pour gérer ce genre de situation a fait dépenser énormément d'argent public à la ville, donc aux contribuables, et tout ça pour rien!
N'a t-il pas déclaré dans la presse locale: "la municipalité actuelle et les précédentes (DOUBIN) ont sué sang et eau pour garder et mettre en valeur ce patrimoine, sans succès hélas, car aménager l'intérieur coûterait selon un architecte environ 150 000 €!!!
Cette déclaration date du 7 avril 2004!
C'est à dire postérieurement au conseil municipal du 3 novembre 2003!
Donc également postérieurement à une "remise en état" par un soi-disant artiste renommé, des bénévoles et des vagabonds, qui ont tous contribué à un peu plus dégrader l'immeuble...qui aurait pourtant coûté trop cher à la ville!
Le maire se moque t-il des argentanais, ou fume t-il des pétards?
Las, le maire confie à un groupe d'autres "artistes" locaux, une autre mission de projet de réhabilitation de cette maison du 6 rue de l'hôtel de ville!
Ce groupement "d'artistes" locaux s'appelle "correspondance"!
Le maire assure à la presse locale qu'il donne "carte blanche" à cette association "correspondance".
L'association envisage une réhabilitation de cette maison dans le cadre d'un chantier d'insertion professionnelle!
C'était...il y a 14 ans!!!
Depuis plus rien...absence totale de "correspondance"!
Plus de son et plus d'image, mais beaucoup d'argent public gaspillé, comme d'habitude à Argentan!
Si le philosophe Michel ONFRAY n'a pas acheté cette maison, c'est tout simplement parce-que le maire a retiré cette délibération...suite à mon intervention.
Je suis effectivement intervenu pour demander des précisions, notamment sur l'origine de la propriété, ce qui a fait peur au maire qui a retiré la délibération.
Mais pour quelle raison le maire a t-il paniqué suite à mon intervention?
Aujourd'hui sur le tard, cette maison fait semble t-il l'objet de toutes les attentions du maire!
Mais Fernand LEGER, ce n'est pas seulement la maison, ce sont aussi les tableaux donnés à la commune par sa veuve.
Bien que le maire ait récemment indiqué qu'il n'y avait qu'un tableau de l'artiste dans son bureau, il y a eu deux tableaux donnés à la commune.
Si un tableau manque à l'appel, c'est qu'il n'a pas été perdu pour tout le monde!
S'il a été volé, le maire a dû le déclarer à l'assurance de la ville, sinon il y a un sérieux problème!
En tout état de cause, ce n'est pas dans un bureau que des tableaux sont valorisés, à moins que le maire soit un adepte d'un grand égoïsme qui se pratique au préjudice de l'intérêt général!
Ces tableaux doivent donc être exposés au public au plus vite, et ce, dans l'intérêt d'une plus grande attractivité touristique.