L'immigration massive à laquelle nous assistons, impuissants que nous sommes à la maîtriser, est semblable aux fléaux du 20 ème siècle, à savoir le communisme et le nazisme.
Le communisme, telles la peste et la lèpre, a gangréné notre société au début du 20 ème siècle avec une idéologie perverse qui a organisé des famines à une grande échelle sur le continent européen, et plus précisément en Europe centrale.
A la faveur de l'épilogue de la seconde guerre mondiale, il s'est exporté vers l'occident et a cadenassé des populations entières sous son joug totalitaire pour exploser enfin en 1989, et la chute du mur de Berlin.
Les deux chefs d'orchestre du communisme ont été LENINE et STALINE, deux enfants de choeur qui, la main sur le choeur voulaient beaucoup de bien au peuple, au nom duquel ils parlaient tout en le méprisant.
Le nazisme lui, a prospéré un peu après le fascisme italien et a été à l'origine d'atrocités, certes moins nombreuses que celles orchestrées par le communisme, mais trop nombreuses et notamment sur le thème de la solution finale.
Le communisme a à son actif cinq fois plus de victimes que le nazisme, en raison de son côté planétaire, alors que le nazisme n'avait qu'une influence européenne.
HITLER a été le chef d'orchestre de ces atrocités.
La société n'a pu ou voulu éviter la montée inexorable du communisme, du fascisme, et du nazisme avec les résultats que l'on connaît.
Aujourd'hui au 21 ème siècle, la même société constate une immigration massive de populations africaines et du moyen-orient vers le continent européen.
Les conséquences en seront désastreuses pour l'équilibre de nos sociétés en difficulté pour éradiquer le chômage de ses compatriotes.
L'Etat islamique soutient et encourage par ses actions cette immigration massive.
Si l'on veut éviter un chaos, une catastrophe pour nos sociétés, il faut supprimer physiquement l'Etat islamique dans les meilleurs délais et cesser d'alimenter des foyers de guerre par la fourniture d'armes.
Pour ce faire, il faut que les politiques cessent de parler et agissent de manière cohérente.
A défaut, il sera trop tard pour constater les dégâts et le temps sera venu de verser des larmes et d'évoquer des regrets à cause de l'inertie politique.