Jean-Marie LE PEN, président à vie du Front National a lors d'un entretien télévisé sur BFMTV confirmé ses précédentes déclarations de la fin des années 1980, à savoir, que les chambres à gaz sont selon lui "des points de détail de l'histoire".
Le code pénal considère toute négation de l'existence des chambres à gaz comme une infraction en vertu d'une loi coercitive inspirée par un ministre communiste du nom de GAYSSOT.
Détail "savoureux", quand on sait que les communistes de Staline sont à l'origine de cinq fois plus de victimes que les nazis de Hitler, en considération que la pieuvre communiste a étendu ses tentacules sur la planète, quand les nazis de Hitler se contentaient du continent européen.
Pour avoir nié l'existence des chambres à gaz, FAURISSON a été condamné.
Force est de constater qu'aujourd'hui, aucun document ne démontre l'existence et la matérialité des chambres à gaz.
Les chambres à gaz n'ont pu être évoquées en tant que preuves au procès de Nuremberg, au cours duquel il n'a jamais été question de la Shoah mais d'un holocauste.
La charte régissant le fonctionnement du procès de Nuremberg est selon ses articles 19 et 21 exclusivement un procès à charge, puisqu'il est le procès des vainqueurs sur les vaincus.
En aucun cas le procès de Nuremberg a été un procès équitable.
Nous considérons la déclaration de Jean-Marie LE PEN comme particulièrement maladroite et nous ne l'approuvons pas, car si l'existence des chambres à gaz n'a pu être objectivement démontrée, les horreurs subies par des millions de déportés dans les camps de concentrations nazis suffit à compatir sur le sort réservé à ces innocents sacrifiés sur l'autel de la folie criminelle.
Ceci étant, nous nous interrogeons sur la portée exacte de cette déclaration irresponsable, puisque dépourvue d'explications complémentaires.
Sans l'extermination à grande échelle des juifs, les allemands auraient-ils gagné la guerre?
La réponse s'impose d'elle même et force est de constater que ce sujet n'a pas été déterminant dans le sort final de la guerre.
D'ailleurs, des sommités telles que Winston CHUCHILL ou le Général De GAULLE n'évoquent aucunement le sujet de l'extermination des juifs dans leurs mémoires de guerre!
Il est donc acquis que ce sujet de l'extermination des juifs n'a pas été déterminant dans l'évolution de la guerre.
La seconde guerre mondiale a connu son épilogue en dehors de ce sujet douloureux pour l'humanité.
De là à invoquer "un point de détail de l'histoire" il y a un pas que nous ne franchirons pas.
Peut-être que Jean-Marie LE PEN aurait-il dû évoquer un pont de détail de la guerre, plutôt que de l'histoire?
Mais à ce jour il a confirmé se propos, sans en changer les termes.