La gauche aime à prendre à témoin le peuple pour justifier ses décisions, mais la réalité infirme ce qui est rentré dans l'inconscient du politiquement correct.
Sans remonter à LENINE, qui aimait à considérer les jeunes comme des "idiots utiles", les exemples ne manquent pas.
La gauche manoeuvre de la sorte parce-que le peuple lui fait peur.
Pour contrer cette peur viscérale, elle a trouvé la parade en pratiquant la démagogie.
Elle s'est même annexée le peuple, en le fractionnant et en identifiant "le peuple de gauche"!
La gauche a bataillé avec toute sa morgue sectaire contre le retour du Général De GAULLE en 1958, alertant les français sur les dangers du retour aux affaires d'un dictateur, alors qu'il a rétabli les libertés individuelles.
La gauche a bataillé également contre la démocratie directe voulue par le Général De GAULLE, par l'élection du président de la République au suffrage universel!
Le peuple fait donc réellement peur à la gauche!
MITTERRAND ce grand mystificateur de l'histoire a dénoncé sans vergogne "le coup d'Etat permanent" du même Général De GAULLE, sans apporter la démonstration durant ses deux mandats qu'il agissait dans l'intérêt général avec le soutien du peuple.
MITTERRAND a méprisé le peuple en lui imposant l'abolition de la peine de mort!
Lui qui se disait proche du peuple, pour quelle raison n'a t-il pas procédé à un référendum?
Le Général De GAULLE tant critiqué par la gauche a été le seul homme politique à prendre aussi souvent l'avis du peuple par la voie référendaire.
Il est vrai que De GAULLE n'avait pas peur du peuple.
Aujourd'hui, au moment d'une évolution de la société, pour quelle raison le président de la République n'utilise t-il pas le référendum pour solliciter l'avis du peuple au sujet du projet du mariage accordé aux homosexuels et de ses produits dérivés?
Le code civil constitue le pilier de notre société et à ce titre ne peut-être remis en cause, au prétexte qu'une minorité a des pratiques sexuelles qui ne s'inscrivent nullement dans les dispositions de la loi, puisque ne participant nullement à la procréation!
Le fait d'accorder les mêmes droits aux couples homosexuels qu'aux couples hétérosexuels dans le cadre du mariage et de la famille, pourrait-il constituer un progrès pour la société?
Si par progrès on traduit toute évolution permissive des moeurs de la société, force est de constater que notre société régresse en considération des dégradations des différents secteurs de notre société.
Des citoyens peuvent et doivent s'opposer à toutes ces dérives comportementales, en préservant les fondamentaux de notre société.
Toucher à ces fondamentaux, c'est remettre en question l'existence du fonctionnement même de la société.