Le 11 octobre 2012, le Journal de l'Orne publiait un article relatif à la visite du groupe UMP du conseil régional à l'entreprise BORNEY SAS.
En conclusion, Joël BRUNEAU son président déclarait: "Que M.DENOUAL commence par faire le travail effectué par M. BORNEY en faveur de l'emploi et après on pourra voir"
J'ai demandé légitimement un droit de réponse.
Celui a été publié dans l'édition datée du 18 octobre 2012, tout en occultant certains éléments et notamment ma conclusion directement liée à mon droit de réponse qui a été dissimulée aux lecteurs: "votre réaction s'apparente à une attitude de fuite de vos responsabilités et à un manque de courage politique, car contrairement à Eric BORNEY, je ne suis pas un héritier".
Pour faire bonne mesure, le Journal de l'Orne se croit autorisé à faire un commentaire, alors que l'usage veut que le droit de réponse se suffise à lui-même: "Sans s'interroger si ces soutiens financiers n'ont pas évité a minima des suppressions d'emplois"
Autrement dit, à en croire le Journal de l'Orne, celui-ci insinue que 32 millions d'euros d'aides publiques du contrat de site ont été distribués aux entreprises, afin que celles-ci évitent de licencier, alors que la vérité est différente puisque des conventions ont été signées entre les partenaires concernés, afin que des investissements et des créations d'emplois participent à la relance de l'économie locale.
Nier cette évidence par un commentaire fielleux, c'est à la fois tromper ses lecteurs et avoir l'esprit tordu.
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