Après les images passées en boucle sur les écrans de télévision et sur les sites dits "réseaux sociaux" montrant une voiture de la police nationale occupée, agressée et brûlée, les policiers attendaient beaucoup de la justice qui avait à se prononcer sur le cas des casseurs supposés être les auteurs des faits.
La justice vient de décider la remise en liberté de 3 casseurs sur 4, assortie d'un contrôle judiciaire bi-mensuel.
Cette remise en liberté scandalise les policiers, et nous les comprenons.
Mais à bien y réfléchir, nous ne comprenons pas cette remise en liberté, mais pour des raisons totalement différentes.
De deux choses l'une, ou les casseurs interpellés sont véritablement identifiés comme les véritables auteurs des faits reprochés et n'avaient pas à être libérés, ou bien ils ne sont pas formellement identifiés comme les auteurs des faits commis, et ils n'avaient pas à être interpellés.
Nous constatons donc beaucoup d'approximation dans la gestion de ces faits, comme d'habitude!