Après les attentats meurtriers de Bruxelles, tels des pantins, les bouffons de la politique s'agitent.
Les tenants des "y'a qu'à", "faut qu'on" s'expriment devant caméras et micros...
Pendant ce temps des palabres, le peuple n'est pas protégé, comme il devrait l'être selon les principes républicains les plus élémentaires et notamment en application du devoir régalien de l'Etat.
Des annonces sont faites vers une surenchère des effectifs des forces de l'ordre, mais ces dispositifs sont toujours impuissants à anticiper les actions des terroristes.
Il faudra donc bien un jour se poser les bonnes questions, ou avoir le courage d'admettre que l'on aura toujours un train de retard et devoir supporter et vivre dans la hantise perpétuelle d'un carnage.
Tout le reste appartient au "folklore politicien".
Car il est définitivement admis que la plupart des pays ne souhaitent pas éradiquer l'Etat islamique et que celui-ci arrange les intérêts des uns et des autres.
L'hypocrisie est bien attachée à la nature humaine...