8 mars, journée de la femme!
Ont-elles peur qu'on les oublie?
Les excitées du féminisme réclament la parité des droits, tout en oubliant la parité des devoirs!
Quelle parité?
Dans la fonction publique, il y a égalité parfaite des salaires entre les hommes et les femmes puisque ce sont les fonctions qui sont rémunérées à partir de concours de recrutement.
Dans le privé, il y a des écarts entre les postes occupés par les hommes ou par les femmes, mais là il n'y a pas de concours de recrutement mais un recrutement organisé par la société avec un contrat de travail précisant les conditions de rémunération.
Donc pas de surprise.
Libre à celle qui est censée être recrutée d'accepter ou de refuser ces conditions.
L'argument avancé par ces féministes repose sur l'égalité de rémunération à partir d'un niveau de compétence égal.
En théorie l'argument peut apparaître sérieux, mais en pratique c'est un peu plus délicat.
Comment définir une compétence avant le recrutement sur un profil de poste hormis un curriculum vitae, pour les femmes comme pour les hommes?
Ajouter à cela la spécificité des femmes, qui n'en déplaisent aux féministes sont différentes des hommes puisque potentiellement futures mères et donc absentes durablement de l'entreprise au cours de leur carrière, il y a plus de risques pour un chef d'entreprise à recruter une femme qu'un homme tout en modulant ce risque en fonction du profil de poste recherché.
Et puis être une femme au foyer est-ce si dégradant que cela?
Travailler à la chaîne est-il si valorisant que cela pour la condition humaine?
Nous ne sommes pas opposés au fait qu'un homme puisse également rester au foyer.
Par contre, nous avons toujours soutenu qu'une femme ou un homme au foyer devait percevoir l'équivalent d'un salaire.
Ces dispositions consolideraient le milieu familial et donneraient davantage de disponibilité aux parents pour leurs enfants.
Là où les excitées du féminisme se couvrent de ridicule c'est dans leur course à l'échalote derrière les hommes dans un mimétisme qui fait pitié.
Au motif de l'égalité intégriste, il faudrait définir dorénavant une professeure, une écrivaine, une femme médecin par médecine?
Mais il y a mieux quand un homme exerce le métier de sage-femme et doit être toujours appelé "sage-femme" au nom de la bêtise humaine qui comme chacun le sait est sans limite!
Comme quoi, il est possible de réussir sa mutation du genre à bon compte...